Le blog de chasse02

La girolle, appelée également chanterelle ciboire, pousse dès la fin du mois de mai, dans les forêts claires de chênes des pays tempérés. Les plus fortes poussées ont lieu, cela dit, en plein été, quelques jours après les pluies orageuses. 

On trouve souvent celle-ci dans les mousses. Mesurant entre 5 et 10 cm, on la différencie de la chanterelle à son chapeau jaunâtre en forme d'entonnoir de 2 à 8 cm de large, et à ses rides profondes (et pas des lamelles) sous celui-ci. Sa chair est blanc crème ou jaune clair. Légèrement molle, elle a une saveur et une odeur délicieusement fruitée.

Consommez la poêlée, comme les autres champignons, avec ou sans matières grasses. Une précaution toutefois : une cuisson trop vive la rend caoutchouteuse. Alors, à feu moyen, on la laisse rendre son eau avant de lui ajouter de l'ail et du persil. 

Seule ou mélangée à d'autres espèces, c'est un vrai régal qui accompagne à merveille les plats de viandes blanches, la côte de veau et le rôti de porc notamment, mais aussi le lapin, le foie gras et les poissons nobles tel que le turbot ou la sole. L'omelette est une préparation qui lui va bien, tout autant que le flan. Posez-la sinon sur un lit de salade verte, à côté de magret de canard fumé. Pour un dîner simple et raffiné à la fois, cuisinez-la en risotto ou servez-la avec des tagliatelles. Enfin, marinée dans une vinaigrette aux fines herbes, on peut même la déguster crue, émincée en carpaccio.

La chasse de Billebaude est réservée aux chasseurs qui préfèrent l'action et les surprises de la nature. C'est une chasse qui se pratique seul ou à deux voire trois maximum, avec son ou ses chiens. Pour chasser ainsi, il faut avoir un territoire, que l'on soit propriétaire ou sur un territoire privé ou encore sur le territoire public d'une ACCA.

Dans cette chasse pleine de surprises, le lapin est souvent considéré comme un "sauve-bredouille", encore faut-il qu'il y'en ai sur le terroir. Celui-ci peut être au terrier, donce on ne le verra pas mais quand il faid froid et sec il sort souvent et on aura le plaisir de le voir et si l'occasion se présente, de le tirer.

C'est une chasse où le résultat importe peu car on revient parfois avec une seule pièce ou deux voire même bredouille. Mais elle représente l'amour de la nature.

La bécasse est également une excellente surprise pour le chasseur de Billebaude qui peut avoir la chance d'en faire partir une voire plusieurs dans des bons jours.

Le chasseur de Billebaude est toujours dehors, peu importe le temps qu'il fait, allant à son allure sans se presser pouvant admirer les démarches de son chien. Cette chasse est de moins-en-moins pratiquée, car on lui préfère souvent les battues ou le tir prime sur la chasse tranquille et passionnée.

L'examen du permis de chasser est organisé par l'Office national de la chasse et de la faune sauvage avec le soutien et la collaboration des Fédérations départementales des chasseurs.

Les candidats doivent s'inscrire auprès des Fédérations départementales des chasseurs. Ils sont alors convoqués à une ou plusieurs séances de formation théorique et de formation pratique assurées par les Fédérations. Ces formations sont obligatoires. Dès qu'ils y ont participé, leur dossier est transmis à l'Office national de la chasse et de la faune sauvage qui les convoque à l'examen théorique. S'ils sont reçus, ils sont convoqués à l'examen pratique.

C'est la réussite à ces deux examens, théorique et pratique, qui fait la réussite à l'examen du permis de chasser. L'un et l'autre de ces examens se déroulent sur les sites agréés des Fédérations départementale de chasseurs.

Présentation de l'examen théorique :

Il est constitué de 21 questions dont une est éliminatoire. Ces questions sont tirées au sort par 

l'ordinateur parmi les 400 comprises dans une base de donnée. Un programme permet d'assurer un tirage au sort homogène quant à la difficulté de la session.

16 bonnes réponses, dont celle à la question éliminatoire, sont nécessaires pour être reçu.

Présentation de l'examen pratique :

L'examen pratique se déroule en trois parties :

1) Evolution sur un parcours de chasse simulé avec tir à blanc.

Le candidat parcours un circuit comportant des obstacles et où des plateaux d'argile, noirs pour les espèces chassables, rouge pour les espèces protégées, sont lancés en différents endroits.

Il doit, selon les situations tirer ou non selon la sécurité et l'espèce représentée.

2) Epreuve de tir à grenaille sur plateaux d'argile et transport d'une arme de chasse :

Le candidat, muni d'un fusil à canons lisses chargés de cartouches à grenaille, est placé sur le pas de tir d'une fosse d'où sont envoyés sept plateaux d'argile dans un ordre aléatoire. Deux d'entre eux sont de couleur rouge et symbolise des espèces non chassables et un est envoyé en direction d'une silhouette humaine, leur tir est éliminatoire. L'adresse au tir n'est pas jugée mais la sécurité et le maniement de l'arme constitue les règles élémentaires.

3) Epreuve de tir à la carabine chargée avec des balles plastiques.

Le candidat doit montrer qu'il connaît le mécanisme de la carabine à verrou, qu'il sait démonter et remonter la culasse, charger et décharger l'arme, le tout en respectant les règles de sécurité.

Il tire a deux reprises sur un sanglier courant en respectant également les règle de sécurité.

Ce mode chasse se pratique sur les lieux de passages des canards qui entrent ou sortent de leurs reposoirs de la journée

Le chasseur se poste soit près de la réserve, soit en bordure d'étangs ou plans d'eau et fait  "l'Espère" (de l'Occitan esperar: attendre).

Cette pratique est autorisée environ ½ heure avant le lever du jour ou ½ heure après le coucher du soleil. Le chasseur se met en place sur l’un des points de passage des canards et tire au vol. Le passage dure entre 10 mn et un ¼ d’heure. 

Durant cette chasse, il est posseible de prélever des souchets, des sarcelles, des pilets, des colverts, des chipeaux, des oies et autres oiseaux.

(Veuillez m'excuser mais je ne suis pas spécialiste dans ce domaine de chasse alors touts vos commentaires sont les bienvenus pour m'aider à améliorer cet article. Merci à tous)

En France, la chasse à l'arc compte environ 5 000 pratiquants sur un total d'environ 1.2 millions de chasseurs (quand même!). Cette chasse est autorisée en France depuis 1995.

Cette pratique spécifique de la chasse au petit ou au gros gibier nécessite l'obtention d'un permis de chasser à l'arc.

C'est une chasse intéressante mais difficile et qui ne plaît pas forcément a tous, les prises sont rares pour un débutant mais peuvent se multiplier avec l'expérience, elle demande également une connaissance parfaite du milieu et des animaux. C'est un réel plaisir lorsque l'on voit sa cible atteinte.

Cependant cette passion n'est peut-être pas appréciée a sa juste valeur.

Celle-ci se développe, avec un matériel de plus en plus sophistiqué, et se présente également pour certains comme une chasse plus écologique. Elle limite les substances polluantes dans l'environnement, et limite également le dérangement de la faune par le bruit et le stress liés aux détonations. 

La chasse à l'arc séduit deux types de publics : ceux qui ont beaucoup chassé et qui cherchent des difficultés et des sensations nouvelles, et ceux qui ne sont pas attirés par la chasse au fusil.